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Pourquoi je ne suis pas obsédé par les mecs TTBM

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« Il n’y a pas que la taille qui compte… ». Combien de fois a-t-on jugé cette phrase suspecte ? Combien de fois l’a-t-on traduit par : « il doit en avoir une petite… ». Et pourtant, c’est quoi une grosse ? Pour Damien (22 ans, Vincennes), « il n’y a pas de règles, ça dépend du mec. Et de son corps… Par exemple, je trouve que les petits gabarits sont souvent très bien montés. De là à dire qu’ils en ont des trop grosses… Je serais plus modéré. ». Louis (19 ans, Toulouse) a un truc bien à lui : « Dès que le mec en a une plus grosse que moi, je le considère TBM ! Mais ce n’est pas trop mon truc… Sans pour autant être fan des trop petites, je les aime moyennes…». En fait, à part quelques phénomènes « supernaturels », on a tous une plus grosse (ou une plus petite) que l’autre… Ça décomplexe, hein ? Mais certains de nos témoins n’aiment pas les grosses. Et chacun pour de bonnes raisons.

Ça fait mal !

« Un jour, j’ai cru un peu trop à mes capacités anatomiques et à ma souplesse. Mes fesses s’en souviennent encore. J’ai cru qu’on me déchirait. J’ai eu très mal. Toute l’excitation et le plaisir ont disparu en une seconde. », nous raconte Jean-Louis (53 ans, Colmar). C’est souvent la première chose à laquelle on pense quand il est question de taille. Louis, toujours au fait de ses possibilités, précise : « Si ça passe en bouche, le reste devrait fonctionner. Sinon, c’est NO way ! » Un truc comme un autre… Hicham (29 ans, Nanterre) se considère comme bien monté : « On ne va pas se mentir, avec certains garçons, ça ne passe pas, même avec beaucoup de lubrifiant ! Ça ne me gène pas quand un mec me dit “Arrête ! » parce qu’il a mal. Ça arrive plus souvent qu’on ne le croit. Il faut arrêter avec le truc de la performance à tout prix. J’ai de très bons (et très chauds) souvenirs de plans sans sodos. »

Elle est souvent molle !

Jean-Louis est catégorique : « Je préfère une petite ou une moyenne dure, qu’une grosse molle. Et c’est malheureusement, trop souvent le cas. » Damien fait le même constat : « Je ne sais pas pourquoi, mais il y a toujours un problème technique avec les grosses. La capote est trop petite, y a pas assez de lubrifiant, je suis trop serré…En fait, le mec a souvent du mal à bander. Et les plans “demi-molle“, ça fait trop mal. Ça me refroidit de suite… ». C’est vrai que voir son partenaire en pleine possession de ses moyens est excitant. Au contraire, avoir l’impression que votre plan ne se concentre que sur son merveilleux, certes, mais un peu défaillant cadeau de la nature peut freiner vos ardeurs… Sachez quand même que la vigueur d’une érection n’a rien à voir avec l’excitation… C’est même assez mécanique.

Y a pas que ça…

« Le problème avec les TBM, c’est le sentiment que tout est prévu d’avance : il est bien monté donc je dois passer à la casserole. Je ne dirais pas qu’ils ont tous un complexe de supériorité mais certains ne sont pas très subtils. » nous dit Jean-Louis.

Hicham, qui rencontre de temps en temps la situation, est plus conciliant : « Je pars du principe que ce n’est pas un problème. Même si mon plan n’est plus d’accord, je m’adapte… Il y a des tas de façons de faire l’amour… Et quand bien même mon partenaire serait OK pour une sodo, je n’oublie jamais qu’il a lui aussi un sexe et je m’en occupe… C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’adore la position de la cuillère ! »